Les lycéen·es de Diwan Gwened ont travaillé pour connaître le monde de l’ostréiculture dans le Morbihan. Nous les avons suivis durant leurs cours, lors d’une visite d’Ostréapolis et durant le concours d’éloquence. Ce documentaire montre que nos jeunes sont attentif·ves et conscient·es de la protection à apporter à la Nature.
LA SÉANCE
en présence de DAVID AR GALL, réalisateur enseignant
mercredi 5 nov. | 19h Skolaj-lise Diwan, VANNES gratuit, organisé avec Ti ar Vro Bro Gwened | Ce court-métrage est sous-titré en français et en breton et vous est proposé en avant-séance d’un film de la sélection régionale.
de Germain Aguesse, Robin Aguesse France | 2025 | 1h13
Ariane Distribution
Le 1er avril 1944, à 22h44, un groupe de résistant·es commet un sabotage sur la voie ferrée d’Ascq, près de Lille, avec pour objectif de ralentir l’approvisionnement d’armes et de marchandises allemandes. Mais l’opération tourne au drame. 80 ans plus tard, quelques-un·es des derniers témoins racontent pour la première fois des horreurs commises cette nuit-là par la 12e Panzerdivsion SS.
LA SÉANCE
en présence de PIERRE-MARIE QUESSEVEUR, asso. Bretagne Historique
samedi 22 nov. | 16h Cinéma, GOURIN payant
Jetez un coup d’œil à la bande annonce du documentaire
Pendant une année, un photographe animalier parcourt sa région natale : la Bretagne. Au-delà des côtes sauvages, il est temps d’explorer nos terres, véritable berceau du vivant. Le défi : documenter et apprendre à connaître la faune locale, de jour comme de nuit, dans le plus grand des respects.
LA SÉANCE
en présence de VINCENT RANNOU, photographe et réalisateur
vendredi 21 nov. | 20h Centre socioculturel, HENNEBONT gratuit
Jetez un coup d’œil à la bande annonce du documentaire
Documentaire sonore de Mélanie Gourdon et Tristan Cailler France | 2019 | 27min
Cie Tam A Tam
Les Finlandais·es adorent le sauna : en famille, entre ami·es, à la maison, au sauna public, sur un bateau… et même avec son·sa patron·ne ! Au sauna, le poêle ronronne, le bois crépite, petit à petit, la chaleur monte et nous enveloppe. Partagez des bains de vapeurs…toute ouïe !
Une expérience sonore immersive autour de la pratique du sauna, véritable art de vivre à la finlandaise. L’écoute comme une expérience en soi, un voyage insolite et sensible.
LA SÉANCE
en présence de MÉLANIE GOURDON, comédienne
vendredi 7 nov. | 18h30 Médiathèque de Kercado, VANNES gratuit, sur réservation : 02 97 62 69 24
Jetez un œil à la bande annonce du documentaire
+ Exposition Photographique
« Suomi – Regards sur la Finlande » par la Cie Tam A Tam
Ces photographies de la Finlande sont offertes par des habitant·es fier·es de partager leur intimité ; elles vous transportent vers cette nature omniprésente, puis vous dévoilent leur quotidien et enfin vous révèlent les secrets du sauna, véritable art de vivre.
du vendredi 10 oct. au vendredi 7 nov. | sur les heures d’ouverture de la médiathèque Médiathèque de Kercado, VANNES gratuit
Une proposition en partenariat avec la Cinémathèque de Bretagne
Ciné Breizh
Proposé et re-numérisé par la Cinémathèque de Bretagne, Yezh ar vez (la langue de la honte) revient sur les réflexions autour de la défense et la transmission de la langue bretonne à travers les témoignages de différentes générations : celle qui a été empêchée de s’exprimer dans sa langue et n’a pas voulu transmettre ce “fardeau” à ses enfants, et celle des enfants, qui la comprend mais ne la parle plus.
Témoin d’une époque, de ses conflits, de ses réflexions sociales et politiques, ce film militant réalisé en 1979 va aussi bien à la rencontre d’inconnu·es que de personnalités bretonnes (Kristen Noguès, Yvon Le Men, René L’Hostis…). Plus de quarante ans plus tard, les enjeux du passé résonnent avec ceux du présent et font de Yezh ar vezh une œuvre étonnamment contemporaine.
LES SÉANCES
en présence de ROZENN MILIN, professionnelle de l’audiovisuel, historienne et sociologue
“À Gaza, il faut arriver le soir au printemps, s’enfermer dans sa chambre et écouter les sons qui entrent par les fenêtres ouvertes… Nous sommes en 2018. J’ai 25 ans et je suis un voyageur étranger. Je rencontre de jeunes Palestiniens de mon âge”.
Réalisé avant le 7 octobre 2023, Voyage à Gaza est un témoignage rare d’une jeunesse dont les rêves et les aspirations ne sont aujourd’hui que souvenirs.
Le film, empli de justesse et de spontanéité, est rythmé par le quotidien des personnages dont nous faisons la rencontre, à travers des images qui prennent aujourd’hui une valeur d’archives. Une parenthèse bienvenue pour porter un autre regard sur un territoire omniprésent dans la sphère médiatique.
LES SÉANCES
en présence de PIERO USBERTI, réalisateur
dimanche 9 nov. | 18h Espace Culturel Arletty, LE PALAIS payant, une projection avec la Bibliothèque du Génie (Mairie de Palais), le Cinéma Le Petit Bal Perdu (Mairie de Palais) et l’Association Les Tempestaires
Jetez un coup d’œil à la bande annonce du documentaire
Sur les traces d’une jument de Przewalski, d’une chienne citadine et des philosophes Baptiste Morizot et Vinciane Despret, Vivant parmi les vivants offre une réflexion passionnante sur notre rapport au vivant : en inversant la perspective, le film nous invite à prendre le temps de l’observation, de la réflexion, et de la remise en question sur notre place dans le monde. Qui des spectateurs·ices et des animaux observent qui ? Par quoi est définie notre lecture du monde ? Est-il cohérent d’attribuer au monde animal un vocabulaire pensé pour décrire les êtres humains ?
Les images esthétiques et les menus détails qu’elles révèlent font de ce film une œuvre poétique, une expérience sensible qui invite à (re)penser collectivement nos relations avec le vivant qui nous entoure.
LES SÉANCES
en présence de CÉLINE ROHAIS, chercheuse en éthologie
vendredi 14 nov. | 20h30 Le Triskell Espace Culturel, PLOEREN gratuit, sur réservation : ploeren.bzh
de Alexe Poukine Belgique, Suisse, France | 2024 | 1h38
Wrong Men
A l’hôpital, les soignant·e·s interrogent leur pratique lors d’ateliers de simulation avec des comédien·nes. Pour annoncer un cancer ou accompagner ses proches, l’empathie avec le·la patient·e se travaille. Mais l’idéal relationnel prôné en formation est-il applicable dans un système de plus en plus à bout de force ? Plus qu’un état des lieux du monde hospitalier, Sauve qui peut le film révèle toute la délicatesse et l’écoute subtiles que nécessite l’acte de prendre soin. Le dispositif de simulation marque l’importance de chaque détail : une posture, un sourire, un silence… Dans le tête à tête entre soignant·e et patient·e, l‘infime peut avoir de considérables conséquences.
Sauve qui peut est un film qu’on qualifie volontiers d’utilité publique.
LES SÉANCES
en présence d‘ÉMILIE LAUNAY BOBILLOT, comédienne experte en simulation en santé
de Joséphine Jouannais France, Belgique | 2024 | 50min
Ecarlate Films et Andolfi, Need Productions
Bruna, étudiante en architecture, enquête auprès des habitant·es de Palerme qui fréquentent l’emblématique Piazza Magione, place historique de la ville. Entre l’inexorable gentrification du lieu et sa gestion par les pouvoirs publics qui ne fait pas l’unanimité, la jeune femme choisit de donner la parole à celles et ceux qui l’habitent. Ils et elles font vivre à leur manière la Piazza ; les voix du passé, du présent et de l’avenir s’entremêlent. Quel futur pour cet espace ?
Rumori della Kalsa nous invite ainsi à regarder et écouter ce petit bout de monde avec douceur : la réalisatrice laisse aux espaces et aux personnages le temps d’exister, en les magnifiant à l’image sous le chaud soleil sicilien.
Riverboom nous entraîne au cœur de l’Afghanistan du début des années 2000 aux côtés de Serge, un journaliste moraliste et bourreau de travail, Paolo, photographe aussi jovial qu’inconscient, et Claude, un typographe suisse froussard qui s’improvise cinéaste.
Proposer un film au ton comique à propos d’un territoire aussi troublé politiquement que le sol afghan est un pari osé, que Claude Baechtold relève avec brio. A travers les images des cassettes vidéos retrouvées 20 ans plus tard, ainsi que des photos de Paolo et Claude, c’est un regard inédit sur le Moyen-Orient passé qui nous est offert, aussi déjanté et drôle que grave et touchant.
Dédé, Michel et Daniel ont passé une partie de leur enfance dans le centre de redressement de La Belle Étoile en Savoie. Leur séjour dans ce lieu entre les années 1950 et 1970 a bouleversé leurs vies. Loin de la violence qu’ils ont subie enfants, la réalisatrice construit un écrin de confiance où le silence se brise et la pudeur de l’écoute ouvre un espace pour la parole et la résilience. Une épopée bouleversante sur le chemin de la mémoire et de la justice.
Les Oubliés de la belle étoile nous offre la précieuse opportunité de nous emparer d’un sujet profondément actuel avec recul et bienveillance, à contre-courant du traitement médiatique. Le film est aussi une ode à l’amitié et à la solidarité, des valeurs qui se révèlent indispensables pour libérer la parole et se reconstruire.
LES SÉANCES
en présence de CLÉMENCE DAVIGO, réalisatrice
mardi 4 nov. | 20h30 Salle Jean Le Mené, LE BONO gratuit, en partenariat avec La Luciole et la mairie du Bono, sur réservation : lebonoluciole@gmail.com
mercredi 5 nov. | 18h Bibliothèque du Génie, LE PALAIS gratuit
Dans une région de Géorgie où pèsent les traditions, les clivages interreligieux, et les conflits récents, Popodia et son mari Memao accueillent en pension des jeunes de confession chrétienne et musulmane. L’établissement est vétuste, mais on l’oublie vite tant le lieu déborde de vitalité. Chez Popodia, on rêve, on rit, on apprend, on se serre les coudes, on débat, on s’interroge, on partage. Sans jamais devenir intrusive, la caméra de Sofia Babluani nous emmène au plus près de ces adolescent·es géorgien·nes, ainsi que de cette femme et cet homme qui ont décidé de leur consacrer leur vie. La réalisatrice nous offre ainsi un magnifique film sur la tolérance, l’adolescence, l’échange intergénérationnel et les liens puissants qui se tissent hors du cercle familial.
mardi 18 nov. | 18h30 Médiathèque Palais des Arts, VANNESgratuit
mardi 18 nov. | 20h30 Salle Jean Le Mené, LE BONO gratuit, en partenariat avec La Luciole et la mairie du Bono, sur réservation : lebonoluciole@gmail.com
jeudi 20 nov. | 20h30 Salle polyvalente de restauration, TRÉALgratuit
de Orkhan Aghazadeh France, Allemagne | 2024 | 1h27
Kidam, Litchtblick Film
Dans un village reculé des montagnes Talyches entre l’Iran et l’Azerbaïdjan, un réparateur de télévisions dépoussière son vieux projecteur soviétique. Il rêve de réunir à nouveau son village devant le grand écran, mais les obstacles se succèdent… jusqu’à ce qu’il trouve un allié inattendu, un jeune cinéphile. Deux générations se rencontrent alors dans cette ode au 7e art comme objet magique, d’émerveillement et de transmission intergénérationnelle, mais aussi profondément fédérateur : c’est finalement tout un village qui est transporté par cette initiative individuelle. Un portrait tendre, chaleureux et lumineux, qui aborde l’art comme vecteur de lien humain, rempart face à la violence du monde, et révélateur de nos mémoires collectives.
LES SÉANCES
en présence d’ÉRIC BOUTTIER, projectionniste, opérateur chef d’équipe
mardi 4 nov. | 20h Grain de Sel, SÉNÉ gratuit, sur réservation : graindesel@sene.bzh
Dans la campagne périgourdine, Benoît jardine, tisse, danse, pose devant l’appareil photo de son ami. Il a construit son cocon à l’abri des regards. Bien qu’assez solitaire, il entretient également un lien fort avec celles et ceux qui, comme lui, ont construit leurs identités en dehors des normes, des codes et des injonctions. Parce que le chemin pour exister sans peur est encore à construire, ils et elles choisissent d’organiser la première Pride de leur territoire. En accompagnant au plus près ses personnages, le réalisateur nous livre un film aussi fort que touchant, entre témoignages et poésie, exhumant la force et la beauté du collectif. Une ode au partage, à la différence et à la solidarité.
Si les sardinières de Douarnenez sont bien souvent connues pour leur historique grève de 1924, qu’en est-il de leurs contemporaines, 100 ans après ? Liza Le Tonquer se glisse au sein de l’usine Chancerelle, aux côtés de celles qui se lèvent tôt chaque matin pour ce travail à la chaîne : un monde ouvrier, exclusivement féminin, où les cultures et les générations se mélangent. En réponse aux conditions de travail ardues, la solidarité de ces femmes se révèle.
Demain au boulot donne la parole à toutes celles qu’on n’entend et ne voit jamais : ces ouvrières qui, bien que souvent épuisées, restent pleines d’espoir et de générosité. Une générosité qui déborde le seul cadre de l’usine et qu’elles nous accordent à travers ce film et leurs témoignages.
LES SÉANCES
en présence de LIZA LE TONQUER, réalisatrice
samedi 1 nov. | 17h Le Gourail, ILE D’ARZ gratuit
mardi 4 nov. | 20h Le Pass’temps, MALESTROIT gratuit, sur réservation : passtemps@malestroit.bzh
mercredi 5 nov. | 19h Skolaj-lise Diwan, VANNESgratuit, organisé avec Ti ar Vro Bro Gwened. Un court-métrage librement choisi vous est proposé en avant-séance.
vendredi 14 nov. | 20h30 Salle Kervel, SAINT-NOLFFgratuit, organisé avec les Artisans Filmeurs
samedi 15 nov. | 15h Le Quatro, BAUDgratuit, sur réservation : www.lequatro.fr
dimanche 16 nov. | 17h Salle Émeraude, LOCOAL-MENDONgratuit, organisé avec la mairie
de Françoise Bouard, Régis Blanchard France | 2024 | 1h02
Les Films de l’autre côté, JPL Films, Les passeurs d’images et de son
Kevin a 17 ans, et vit dans un Centre Éducatif Renforcé (CER) pour un séjour de rupture de six mois. Six mois pour prendre un nouveau départ pour lui et les autres jeunes du centre ; prendre le temps de se retrouver, de grandir, d’avancer. Accompagnés par leurs éducateur·rices, nous les suivons dans leurs rêves, leurs angoisses, leurs colères, leurs émotions, leurs joies.
Grâce à la forme hybride entre prises de vues réelles et animation, les réalisateur·rices nous amènent au plus proche de ces jeunes et nous en proposent des portraits touchants, dépeignant des personnages aussi lumineux que vulnérables..
Au cœur de la banlieue parisienne, les habitant·es d’Aubervilliers luttent pour la préservation du Jardin des vertus, menacé par la construction d’un solarium et d’une piscine pour les JO 2024. L’enjeu n’est pas seulement la préservation d’un espace de verdure : c’est aussi celle des liens humains qui se tissent grâce à ces parcelles de terres cultivées. Le réalisateur nous invite ainsi à découvrir celles et ceux qui mènent cette lutte, dans toute la diversité sociale et culturelle qui est celle d’Aubervilliers.
Un film plein d’espoir, qui fait la part belle à l’action collective. L’onirisme et le conte viennent également tisser ce maillage de la lutte pour les Jardins ; car cette dernière est aussi poétique, comme nous le montre remarquablement La Terre des vertus.
Avec votre carte Cinécran, bénéficiez d’avantages à l’Echonova dès ce mois de janvier !
Retrouvez l’excellent documentaire L’Énergie positive des Dieux de Laetitia Møller à 19h15 suivi d’un concert du groupe rock Astéréotypie (révélé par leur premier album Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme et le documentaire).
Déroulé de la soirée :
19h15 : Projection du documentaireL’Énergie positive des Dieux
21h : Concert du groupe Astéréotypie
Pour avoir votre place rendez-vous à la billetterie avec votre carte Cinécran ou envoyez en une photo par mail avec vos coordonnées à billeterie@lechonova.com
C’est bien d’être sur la planète Terre d’Élise Andrieu
(avec des) SOUPES BIEN CHAUDES
Les Cuisiniers solidaires
vendredi 29 novembre 2024 | les Halles couvertes | QUESTEMBERT
à quoi s’attendre :
Après un mois de projections, de débats et de rencontres, quel bonhoeur de clôturer ensemble le Mois du doc 2024 et de se dire « à l’année prochaine » !
Rendez-vous sous les halles, pour une expérience nocturne, sonore et musicale inoubliable. Laissez vous emporter par le documentaire sonore C’est bien d’être sur la planète Terre d’Élise Andrieu, une épopée en forêt, une invitation poétique et philosophie, au cœur des éléments, à hauteur de regards et de mots d’enfants. Confortablement installé·es dans nos chiliennes, emmitouflé·es dans nos couvertures, mettez vos sens en éveils tandis que les feuilles craquent, que la « chouette culotte » ulule, que le tonnerre gronde et que les enfants rient, chahutent, se questionnent, grandissent…
Pour accompagner l’expérience, nos merveilleux·es ami·es Les Cuisiniers solidaires, auront spécialement concocté une bonne soupe d’hiver à partager ! Notre petit conseil : même si le maximum est prévu pour vous réchauffer, bonnets et vêtements chauds sont de mise !
Synopsis : C’est une conversation tranquille entre deux cinéastes, Nicolas Philibert et Jean-Louis Comolli. Une conversation, ou le plaisir de passer du temps ensemble. Plaisir de filmer la parole et plaisir de l’écoute. Comment les films naissent-ils, quelles sont les questions qui viennent lors du tournage puis pendant le montage ? Nicolas Philibert décrit avec une grande précision ses façons de faire et nous invite à prendre toute la mesure éthique de son travail.
LA SÉANCE
En présence de ISABELLE LE CORFF enseignante en cinéma
Les Young@heart forment une chorale à part. Résidents d’une petite ville du Massachussetts, ses membres, âgés de 75 à 93 ans, parcourent le monde pour des concerts où ils interprètent, à leur manière, des classiques du rock ou de la pop, des Clash à Sonic Youth en passant par Radiohead ou les Talking Heads. Le documentariste Stephen Walker a suivi les Young@heart pendant la préparation d’un nouveau spectacle. Au fur et à mesure des répétitions, la chorale de seniors et son directeur, Bob Cilman, vont devoir faire un autre apprentissage : celui des réalités de la vieillesse…
jeudi 31 octobre | Pot à 19h – Projection à 20h Iris cinéma, QUESTEMBERT payant, réservation conseillée par mail : bonjour.cinecran@gmail.com
Dans le cadre du week-end Jean-Louis Comolli et Nicolas Philibert
Dans cet essai adapté de son ouvrage “Nuit et Brouillard, un film dans l’histoire”, l’historienne Sylvie Lindeperg replace le film d’Alain Resnais (daté de 1956) dans son contexte historique et politique : quel regard, dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les associations d’anciens déportés et résistants, les pouvoirs publics et les médias portaient-ils sur les camps nazis et la déportation ? Quelles lectures et quels usages pouvaient être faits des images tournées lors de l’ouverture des camps ? Pourquoi la question de l’extermination des juifs est restée, pendant cette décennie, un angle mort ? Mettant en scène le travail de l’historienne, sa recherche des faits et son usage des documents, le film décortique les questionnements historiques et éthiques partagés par Alain Resnais et son équipe, qui font de “Nuit et Brouillard” un film capital de la modernité.